On quitte Tokyo pour la journée, le trajet en train dure 50 min et nous voilà un peu plus dans l’arrière pays à Kita kamakura. On démarre une petite balade d’une heure dans la forêt direction le Daibutsu (bouddha géant) en bout de chemin.
On croise quelques touristes et on s’arrête plusieurs fois en chemin. Dans la forêt, on découvre plusieurs sanctuaires. Eva s’essaye à la caisa (dôme en métal martelé) avec un groupe de musicien. Elle joue timidement car il y a du public.
Peu après, on arrive au Zeniarai benten un temple auquel on accède en passant dans un tunnel creusé dans la roche. Le temple est une petite oasis en pleine forêt. Un bassin de carpe koi, des cascades et des fontaines rendent le lieu féerique. Ça sent l’encens.
Les japonais viennent ici pour réaliser une coutume spéciale. Ils vident leur portefeuille (billets et pièces) dans des paniers et lavent leur argent dans la source. L’eau de cette montagne est réputée pour multiplier les richesses.
La balade continue et on arrive au grand Buddha. Il a été sculpté en 1232 et à l’origine il était recouvert d’une peinture dorée. Il est impressionnant. On peut voir les offrandes (boissons et nourriture).
On continue la journée en se baladant dans les rues commerçantes de cette station balnéaire. C’est agréable malgré le monde. On décide d’aller à pied jusqu’au temple Hokoku-ji. On ne sera pas déçu.
Autour du temple, on se détend dans un magnifique jardin zen, des personnes méditent. On fera un tour dans la superbe forêt de giant bambous juste derrière. Ambiance très tranquille.
On revient vers le centre ville et on termine la visite par le sanctuaire principal de Kamakura. Impossible de retenir son nom: le TsurugaokaHachimangu.
Avant de reprendre le train, on se tente une petite douceur. Toute les pâtisseries qu’on a testé nous ont fait faire une drôle de grimace. Niveau gourmandise en générale, tu as le choix entre parfum thé vert amer ou haricot rouge sucré. On va resté sur le salé dorénavant.